Le défi de la création de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom : une aventure mouvementée et une réussite épique.
Le processus de développement de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom a été rempli de hauts et de bas, comme l’a partagé Takahiro Takayama, le responsable de la physique du jeu, lors de la Game Developers Conference (GDC) de cette année. Dès qu’il a pu observer le prototype du jeu, Takayama a senti qu’il avait le potentiel d’être un succès retentissant. Cependant, il a rapidement compris les défis qui les attendaient. Il a admis que le développement du jeu serait une tâche ardue et chaotique.
L’une des fonctionnalités clés de Tears of the Kingdom est sa capacité à fusionner des objets pour encourager l’expérimentation dans un environnement sandbox, allant encore plus loin que son prédécesseur, Breath of the Wild, en matière de liberté d’action. Cependant, cette innovation a posé de sérieux problèmes à Takayama et à son équipe. En effet, ils devaient non seulement s’assurer du bon fonctionnement de la physique du jeu, mais également intégrer des éléments animés qui ne s’accordaient pas naturellement avec un système de physique en temps réel. Cette période a été tumultueuse et remplie de défis pour Takayama, qui a qualifié cette période de « chaos » avec des problèmes quotidiens à résoudre. Des outils tels que « emprise », permettant aux joueurs d’assembler des objets, ont ajouté une couche de complexité supplémentaire, générant des difficultés inattendues.
Malgré les obstacles rencontrés, le jeu a finalement vu le jour et a été accueilli avec enthousiasme par les critiques. Takayama, en réfléchissant à ces moments difficiles, a souligné l’importance de persévérer face à l’adversité. Il a souligné que dans la vie, il est crucial d’avoir le courage de continuer à avancer. Cette philosophie s’est avérée fructueuse, comme en témoigne le score impressionnant de 97/100 attribué par Metacritic, démontrant la détermination et le travail acharné de l’équipe de développement. Maintenant que le jeu est entre les mains des joueurs, Takayama et son équipe peuvent enfin souffler, fiers du chemin parcouru et du résultat final.
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